Hello !!!

    12-test-2-.jpg

 

 

Ce blog est un morceau

de vie, d'envie, de partage, d'humeurs,

de réflexions, de tout et de rien...

 

Zani-mots-ALM-.jpg




Un grand merci
à Monsieur Kiki
pour ces deux
jolies réalisations

 
 
Diapositive15.JPG

"Tout ce que j'ai fait,
a servi à me construire.
"
Samuel Jackson
 
Diapositive15.JPG
Si vous souhaitez me contacter,
cliquez ci-dessous


Diapositive15.JPG

Mes index

 

undefined
undefined
 
 
  ALAURE.gif

 

Rechercher

1, 2, 3...

 
Vous êtes le
 
ème

   visiteur de ce blog

   

Vieilleries

Vagabondages

    Mes explorations
Les Blogeurs

   

Chim--re-copie-1.jpeg Gludo.jpeg
Bluegrey-2.jpeg Na--k.jpg Lamia-copie-1.jpeg
Demain-sera.jpg Gouli.jpg
undefined
Erzie Marc-Supy--copie-1.jpg
kiki.jpeg
Calipso.jpg Betty.jpg
Karine.jpg Yueyin.jpeg Anjie.jpg
Bric---brac.jpg
Fabebook--copie-1.jpg Abeille-.jpg
La-Hibou-.jpg VDM.jpg Marie
     

 

Les Auteurs
 
Marc--bouton-site-.jpg
 
Les Artistes
 

 
Les Autres
 

Babelio.jpg

 

 

ALAURE.gif

Biblio

 

Je fais partie du groupe


 

J'aime beaucoup le

 

 

Mes index
 

  

 

 


 

Livre d'or

Livre-d-or-.JPGLivre d'orLivre d'orLivre d'or
Livre-d-or--2-.jpg
 
Vous souhaitez laisser un petit message,
un avis ou une suggestion
qui n'est pas spécialement en rapport
avec un article ?
Vous voulez juste poser une question
ou faire  un petit "coucou" ?
Alors pas de problème,
cliquez sur le livre d'or,
il vous conduira au bon endroit.
Je vous promets de répondre.
 
 

 
20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 13:06

L'élégance du hérisson

 

4-de-couv.jpg

 

" Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth.

Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants.

 

Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. "

 

 

Mon-avis-1-copie-2.jpg

 

Aïe, comment dire !!!

En fait j'ai été déçue par ce roman !!! Je sais, nous ne sommes surement pas très nombreuses dans ce cas, mais j'ai vraiment été déçue.

 

Tout d'abord, j'ai bien aimé les 40 premières pages, puis, j'ai trouvé qui l'histoire stagnait, devenait vide d'action.

Je n'ai pas trouvé un grand intérêt à toutes les réflexions philosophiques qui jalonnent le roman. Par contre, j'ai plus aimé les pensées de Paloma, la jeune ado.

 

L'arrivée de monsieur Ozu, qui deviendra l'âme sœur de Rénée la concierge, est un peut tardive, puisqu'il faut avoir lu la moitié du roman pour que ce personnage entre en jeu. Domage, son intervention dans la vie de Rénée, est un des plus grand moment de la vie de cette femme.

L'amitié entre la jeune ado et la concierge dont j'avais tant entendu parler, n'arrive, quant à elle, qu'à la 303ème page. Il faut dire que le roman en compte 409, donc, cette amitié ne réside que dans le quart du roman.

Et encore, la gamine annonce à la concierge : "- Il est manifeste que vous êtes très intelligente." , une page après l'avoir rencontrée, et échangé des propos sans grand intérêt…

Là, pour le coup, je trouve que ça aurait pu être plus creusé !!! J'ai eu l'impression que l'auteur voulait abréger pour rattraper les longueurs des 300 premières pages !!!

Les personnages sont attachants, mais pas assez fouillés à mon gout. La fin est triste, inattendue, et encore une fois, j'ai eu une impression de bâclé !!

 

 

Partager cet article
Repost0
7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 09:12

 

4-de-couv.jpg

 

Comme avant

A la réaction de sa femme lorsqu'il oublie de fêter leurs trente ans de mariage, Wilson mesure combien une vie bien remplie mais sans surprise l'a éloigné d'elle. Pourtant il aime Jane comme au premier instant, et contrairement à beaucoup d'hommes, il décide de ne pas s'en tenir à ce constat désabusé. Il entreprend alors de regagner son amour en la séduisant à nouveau, comme aux plus beaux jours de leur jeunesse.

Longtemps maladroit, cet homme sensible et sérieux va trouver dans l'organisation précipitée du mariage de sa fille aînée l'occasion de faire preuve d'audace, d'énergie et d'initiative.

Ces efforts touchants lui permettront-t-ils de raviver la flamme vacillante dans le cœur de Jane ?

 

 

Mon-avis-1-copie-2.jpg

 

Ce livre m'a permis de passer un très agréable moment de lecture. Il m'a mis de bon humeur.

Le romantisme, les tendres attentions, l'envie de faire plaisir et de surprendre, sont présents à chaque pages.

Je n'ai pas du tout vu arriver le dénouement, et le fait d'être surprise à la fin d'une histoire, me plait toujours !!

C'est un joli roman, tendre et léger, qui me laissera un bon souvenir de lecture. Je vous le conseille donc !!!

 

Partager cet article
Repost0
4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 09:02

 

La-vigne-qui-aimait-un-lierre-.jpg

 

Cet album est composé de trois contes :

 

- La première histoire, "La vigne qui aimait un lierre" nous transporte au temps du Moyen-Age, dans un petit bourg du pays cathare. Par un incroyable prodige, une vigne vierge manifeste son amour pour un artisan tanneur qui … « cherche femme ».

 

- La seconde histoire, "La Cité des sots", nous emmène dans une Cité italienne du temps de la Renaissance, où le peuple rivalise de bêtise avec son doge….

 

- La troisième, "Le Dernier Dieu", nous raconte comment les Dieux disparurent de la Terre, à force de vanité et de suffisance….

 

 

Ces trois contes sont écrits par Jean-Sébastien Blanck. Ils sont à la première personne. Les thèmes abordés dans ces 3 contes sont intemporels : l'amour, la bêtise, la toute puissance, la révolution…

Les textes sont très agréables à lire. Le lecteur, qu'il soit enfant ou adulte, y trouvera les subtilités faisant appel à son vécu.

 

J'ai trouvé les illustrations merveilleuses. Se sont de magnifiques aquarelles dont les détails sont nombreux, les couleurs sont des couleurs chaudes, et les graphismes sont très réussis.

 

Un très bel album que je vous conseil.

Partager cet article
Repost0
30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 12:14

 

4-de-couv.jpg

les-chutes.jpeg

 

Au matin de sa nuit de noces, Ariah Littrell découvre que son époux s'est jeté dans Les chutes du Niagara. Durant sept jours et sept nuits, elle erre au bord du gouffre, à la recherche de son destin brisé. Celle que L'on surnomme désormais " la Veuve blanche des Chutes " attire pourtant l'attention d'un brillant avocat. Une passion aussi improbable qu'absolue les entraîne, mais La malédiction rôde...

 

 

 

Mon-avis-1-copie-2.jpg

 

Ariah, la principale héroïne, est une femme très tourmentée, instable, qui ne veut pas s'intéresser à la vie sociale et professionnelle de son mari, à la vie de ses concitoyens, à la vie de sa famille, à la vie en général… Bref, elle n'est pas franchement aimable, elle n'a rien de l'héroïne à laquelle on s'attache très rapidement. Mais, malgré cela, elle est profondément humaine, avec ses forces ses faiblesses.

Personnellement, je trouve que l'éducation qu'elle a donné à ses enfants est un désastre. Elle leur a transmis ses doutes, ses peurs et en a fait des adultes malheureux dans un premier temps. Il leur faudra quitter la maison pour les garçons, ou s'éloigner de sa mère pour la fille, pour pouvoir enfin prendre leurs vies en main, et accéder au bonheur.

 

Ce livre est le premier de Joyce Carol Oates que je lis.

J’ai beaucoup aimé son écriture, la façon dont elle fait raconter le suicide son premier mari par trois personnages : un gardien témoins impuissant du drame, le suicidé, et elle-même.

Je n'ai absolument pas décroché même si, parfois, je me demandais où elle voulait en venir. Et à ces moments là, au détour d'une phrase innocente, apparaissait un détail important, un bout du voile se levait, bref, tout repartait de plus belle…

 

Vivement le prochain roman de Joyce Carol Oate, d'ailleurs j'attends les conseils de celles et ceux qui connaissent bien cette auteure !!!

 

 

 Cettelire-et-d--lires-MP.JPG lecture a été faite dans le cadre des lectures du club de lecture "Lire et Délire".

Le thème de cette rencontre était : Les romans de Joyce Carol Oate.

Un grand merci à Choupy qui m'avait chaudement recommandée ce livre. Un très très bon conseil de ta part Choupy !!!

 

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 08:48

 

 

4-de-couv.jpg

Le jour et l'heure

 

La fraîcheur de sa colère, son amour des femmes, ses instincts de bon père juif, son usage immodéré de l'humour comme ultime politesse, David n'a rien perdu.

Pourtant Leïla, l'Arabo-Andalouse de sa vie, l'a abandonné. Les Fellini, les Mastroianni, les Serrault et autres frères élus ont disparu sans crier gare. Alors il écrit. Des notes éparses, qu'il laisse traîner un peu trop négligemment, et qui déclenchent une correspondance inattendue avec ses trois enfants..

 

 

Mon-avis-1-copie-2.jpg

 

Encore un fois, en lisant Bedos, je ne suis pas déçue.

J'avais lu, il y a bien longtemps, "Petites drôleries et autres méchancetés sans importance", et "Inconsolable et gai". A l'époque, j'avais déjà beaucoup aimé. Il faut dire que j'ai toujours été fan de Guy Bedos.

Dans ce premier roman, il aborde le thème de la mort, le droit de chacun à mourir dans la dignité. J'y ai surtout trouvé la vie, la rage de vivre, l'amour inconditionnel qu'un père peut avoir envers ses enfants, l'amour des femmes, la tendresse, bref beaucoup d'espoirs…

Son humour est toujours aussi décapant, et ça, j'adore…

Ces personnages sont attachants, drôles, terriblement lucides.

Un livre très agréable à lire, si je peux me permettre : je vous le recommande vivement !!!

Partager cet article
Repost0
16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 09:45

 

 

 

Après la mort de sa femme et de ses enfants, David Zimmer était anéanti. Il échappe au désespoir en s'attelant à l'écriture d'un livre consacré à Hector Mann, virtuose du cinéma muet porté disparu depuis 1929.

Un soir, une jeune femme arrive chez lui et annonce que Hector Mann lui-même le réclame de toute urgence, qu'il est sur son lit de mort. David se laisse entraîner dans un très long voyage...

En racontant l'histoire de l'extraordinaire et mystérieux Hector Mann, Paul Auster nous emmène bien au-delà de la magie du cinéma muet, jusqu'au cœur de l'univers envoûtant où la création artistique semble faire écho aux sentiments amoureux dans ce qu'ils ont de plus éphémère et de plus fragile, où la douleur de la perte et le besoin de filiation se répondent pour remettre en question l'idée même de mémoire.

 

 

    

 

Encore un très beau roman écrits par Paul Auster. L'histoire est prenante et nous entraîne dans un admirable voyage au fin fond du cœur et de l'âme de ses personnages. Encore un fois, j'ai été emballée par ce roman. Je n'ai eu aucun mal à rentrer dans l'histoire.

J'ai trouvé les descriptions faites par l'auteur, précises sans jamais être ennuyeuses, réaliste, bref, toujours agréables à lire.

C'est une jolie histoire, touchante, émouvante et bien écrite. A la fin du livre, j'avais même envie de voir les films dont il parle !!! C'est pour dire !!!

 

 

Partager cet article
Repost0
18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 12:46

 

 

A coup sûr, le Denis de la seconde B ne serait jamais passé à côté de cette Ludivine sans la voir, pas plus que sa beauté n'avait pu échapper à Kaspia. Une injustice flagrante qu'Irène se promettait bien de réparer d'une façon ou d'une autre. Après tout, s'il n'y avait pas de mal à embellir un peu les choses, quel mal y aurait-il eu à les enlaidir ?

 

Une femme névrosée, les archives d'un journal de province, une jolie stagiaire, un journaliste en charge des faits divers, un mystérieux dossier, une disparition suspecte. Autant d'ingrédients qui situent ce roman dans la droite ligne du polar psychologique.


 

 

Je viens de finir ce roman et je n'ai qu'une seule envie : lire un autre titre de cet auteur !!!!

J'ai bien aimé le style, la fluidité du récit, l'histoire en elle même et le cheminement de tous les personnages. Malgré les petits travers de certains, je les ai tous trouvés attachants.

J'ai eu beaucoup de mal à quitter le roman le temps d'une nuit, tellement "l'envie de savoir" était forte !!!!

En bref, j'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce roman.

 

Cette auteure a écrit trois livres : "La fille de ma mère", "Elle comme livre", et" Irène et la chose", tous disponibles aux éditions L'Harmattan.

 

C'est la première fois que je lis un livre en connaissant personnellement l'auteur.

En effet, Séverine Banjout-Peyret réside dans ma commune et mon statut de correspondante de presse pour notre journal régional, m'a permis de la rencontrer. Elle m'a offert ce roman ainsi que "le fils de ma mère" dont je vous parlerai dès que je l'aurai lu. Je sais qu'elle est en train d'écrire un 4ème roman et, c'est promis, je vous informerai de sa sortie.

En attendant je vous conseille vivement de la découvrir, c'est vraiment très sympa comme lecture.

 

Partager cet article
Repost0
2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 16:08

 

  

 

Imaginez...

Votre femme a été tuée par un serial killer.

Huit ans plus tard, vous recevez un e-mail anonyme. Vous cliquez : une image... C'est son visage, au milieu d'une foule, filmé en temps réel.

Impossible, pensez-vous ?

Et si vous lisiez "Ne le dis à personne..." ?

 

 

 

Je dois l'avouer, je ne suis pas une lectrice de roman policier. Mais ça, les visiteurs de mon blog le savent déjà !!! Ce n'est pas le style de romans qui m'attirent énormément, mais celui-là m'a beaucoup, beaucoup plu.

 

C'est le premier d'Harlan Coben que j'ai lu et, dés les premières pages, j'ai été emballée par l'histoire. Je n'irai pas jusqu'à dire que je l'ai trouvé passionnant, mais, une fois commencé impossible de lâcher le livre.

 

Le style est un vrai bonheur, les mots s'enchainent les uns aux autres et la magie opère. L'auteur fait preuve d'humour, parfois un peu grinçant même, et ça m'a bien plu. Il s'adresse à nous, nous interpelle sur des sujets qui nous font réfléchir... Bref, on est vraiment pris dans l'histoire.

 

L'intrigue est originale, et bien menée. Le suspense est présent jusqu'à la fin, les rebondissements s'enchainent. Les indices, infos, suspicions, arrivent toujours au bon moment et le dénouement nous surprend encore...

 

Je vous le recommande avec plaisir, et je vais de ce pas, en acheter un autre de cet auteur !!!

 

 

Partager cet article
Repost0
12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 12:33



Comme-un-frere.jpgDans un petit village du Jura, plongé dans un profond mutisme depuis l'horrible drame resté à jamais gravé dans les esprits, Sixte rompt le silence, et raconte enfin l'histoire. L'histoire tragique et bouleversante de deux inséparables frères, Nathan et Joaquim, qui, depuis le décès de leurs parents, mènent une existence étrange et isolée, unis par des sentiments violents, et liés par une même grande passion pour les chevaux. Et tandis que rien ne semble pouvoir ébranler la tendre complicité des deux frères, la rencontre avec Marie bouleverse leur vie.

 

Un roman dur et émouvant, qui retrace le destin poignant de deux frères dont l'amour démesuré va, peu à peu, les conduire à leur perte.

 

 

 

Ce livre est le premier de cette auteur que je lis. Je l'ai trouvé très émouvant et doux.

J'ai été touchée par les personnages même si je ne comprends pas complètement les rapports passionnels qui unissent les deux frères. Toutefois, leur entente est belle et ils sont tellement attachants...

L'histoire se lit facilement. Les références équestres sont justes et utilisés sans en faire trop ce qui ne rend pas la lecture ennuyeuse pour les "non initiés".

La fin dramatique me pousse à croire qu'il faut être vigilant et ne jamais laisser un malentendu se transformer en colère silencieuse.

Ce roman m'a donnée envie de découvrir un peu plus Françoise Bourdin. Vivement le prochain...

Partager cet article
Repost0
1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 19:18
 



Délocaliser les vieillards !

C'est l'idée lumineuse qui va sauver le docteur Ravi Kapoor, un médecin londonien épuisé par son travail quotidien et par les soucis que lui cause son insupportable beau-père, Norman Purse, un vieux bonhomme égoïste, sans-gêne et, de surcroît, obsédé sexuel. Déjà expulsé de toutes les maisons de retraite convenables, Norman semble impossible à caser. C'est alors qu'un cousin de Ravi, un dynamique homme d'affaires, projette de créer en Inde une chaîne de maisons de retraite très « Vieille Angleterre », où des Britanniques d'âge avancé pourraient retrouver, au soleil et dans la paix, les mœurs et l'atmosphère de leur jeunesse.

Dans la grande tradition de la littérature satirique anglaise, Deborah Moggach met en scène avec humour et tendresse ce petit monde dépassé par le temps, mais qui ne va pas tarder à découvrir que la vie peut encore apporter d'étranges bonheurs.

 

 

 

 

 

Que dire de ce roman ??? Bof, bof, bof ...

Je m'explique : je n'ai pas trouvé ce livre hyper passionnant. Je n'ai pas réussi à entrer entièrement dans l'histoire. J'ai trouvé les personnages trop prévisibles, froids et distants. Ils ne m'ont pas donné envie de les connaitre, de prendre leur défense, ou de les détester. Bref ils m'ont laissé de marbre...

L'idée d'origine, l'éloignement des parents difficilement supportables, n'a à mon humble avis, pas était assez poussée.

J'aurais aimé plus l'humour, de rebondissements, de difficultés à régler, une sorte de crise d'adolescences pour 3ème âge... Bref un peu d'action !!! Mais non, rien de tout ça. Le calme plat !!

"Ces petites choses" est un roman qui ne me laissera pas un souvenir impérissable...

 

Partager cet article
Repost0