Je sous souhaite que votre Noël soit le plus féérique
et le plus doux possible !!!
Bonne fête et gros bisouxx à tous et à toutes !!!
Ce blog est un morceau
de vie, d'envie, de partage, d'humeurs,
visiteur de ce blog
Je sous souhaite que votre Noël soit le plus féérique
et le plus doux possible !!!
Bonne fête et gros bisouxx à tous et à toutes !!!
A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit:
- Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !
La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
- Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps.
Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
- Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !
Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : Les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
Elle ajoute :
- De mon temps, on montait l'escalier à pied: on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues : On marchait jusqu'à l'épicerie du coin.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On ne connaissait pas les couches jetables : On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge, pas dans un machine de 3 000 watts. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour sécher les vêtements. On ravaudait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sur à l'autre.
Mais, vous avez raison, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n'avait qu'une TV (quand on en avait…) ou une radio dans la maison ; pas une dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Texas. On avait un réveil quon remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
On n'avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto-portées : On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon. On travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo. On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 heures sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER
AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGISTE !
Savez-vous comment une cocotte minute accélère la cuisson ?? Non, bon alors voilà l'explication.
C'est grâce à son couvercle qu'elle réalise ce petit miracle.
En chauffant la cocotte minute, on porte son eau à ébullition, soit à 100° C.
Sans couvercle, l'eau resterait à cette température. Mais avec un couvercle bien fermé, la vapeur d'eau qui se forme dans la cocotte élève notablement la pression du récipient, sans toutefois dépasser un certain seuil, grâce à la soupape de sécurité.
Or, à cette pression plus forte, l'eau bout vers 120° C. Les aliments vont ainsi cuire à une température plus élevée que la normale, et donc, plus vite !!!
L'eau n'a pas suffisamment de liberté pour se transformer entièrement en gaz.
Cependant, une cocotte n'est jamais entièrement hermétique et fort heureusement, sinon la pression augmentant de façon régulière, l'engin finirait par exploser. Ce qui malheureusement a été démontré à plusieurs reprises au cours de l'histoire de la cocotte minute...
Mais pour éviter ce type de réaction plutôt violente, il y a sur chacune de nos cocottes une petite soupape. Cette soupape permet, en laissant échapper un peu de la vapeur d'eau, de stabiliser la pression à l'intérieur de la cocotte-minute autour de 1,5 fois la pression atmosphérique. L'équilibre est alors stable.
Pas mal non ???
Cette invention date du lendemain de la seconde guerre mondiale.
A cette époque, la population connaîssait de nombreux problèmes d'alimentation. La nourriture loin d'être abondante, n'était pas non plus très variée. L'idée était alors de chercher à faire cuire tous types de viandes (pas toujours tendres) rapidement, de manière à faire des économies, c'est à dire sans trop utiliser de combustible.
Le défi est relevé et entre alors en scène notre cocotte minute.
Ce nom "cocotte-minute" ne lui a été attribué qu'à partir de 1977,
avant, il s'agissait de la "Super- Cocotte".
Peut-on, sans risque, manger des coquillages durant les mois sans "r" ????
Mais oui, bien sur !!!!!!!!!!! Il n'y a aucun risque, vous pouvez très bien manger des moules en juin ou des huîtres en août ...
La consigne de ne pas manger de coquillages les mois sans "r", a ét fixée par ordonnance au XVIII° siècle, afin d'éviter les risques sanitaires liés à la chaleur pendant le transport.
Il fallait aussi veiller à préserver les populations d'huîtres, dont les Parisiens raffolaient. Leur pêche à donc été interdite du 30 avril au 1er septembre.
Ces textes sont toujours en vigueur, mais depuis, la chaîne du froid et les infrastructures se sont améliorées !!!! Pour notre plus grand plaisir !!!
Enfin, je dis ça mais en fait je n'aime pas les coquillages...
Dans les faits, la carotte est un légume,
mais sur le papier, c'est un fruit !!!
Voici pour les plus curieux un peu d'histoire...
La carotte nous vient d'Afghanistan, en Asie centrale. À l'état sauvage, la plante a une racine mince et aigre. Ce n'est qu'en la cultivant dans un climat modéré et dans une terre fertile que la racine grossit et s'adoucit pour donner une denrée comestible. Pourtant, l'arrivée de la carotte comestible s'est faite assez tardivement.
Des traces de graines de carottes ont été découvertes en Suisse sur des sites préhistoriques. Cela laisse supposer que la carotte est connue de l'homme depuis des millénaires. Il est probable qu'elle ne fut cultivée que pour ses feuilles, qui dégageaient un arôme agréable. Ainsi, la carotte se retrouve au 8e siècle dans un recueil culinaire, non pas en tant que légume mais comme plante aromatique. La carotte était une épice avant d'être un légume.
La culture de la carotte s'est répandue en Europe. Les Français, les Allemands et les Hollandais commencèrent à la cultiver. Ils délaissèrent peu à peu la variété mauve car elle perdait de sa saveur dans les terres au climat tempéré d'Europe occidentale. En même temps, la variété jaune connaissait la faveur populaire à cause de la facilité avec laquelle on la faisait croître. Son goût devenait de plus en plus prononcé. Au 17e siècle, on voit pour la première fois une carotte dans une peinture hollandaise.
Cette carotte cultivée en Europe fut importée en Amérique au 16e siècle. En 1565, on sait qu'elle était cultivée au Venezuela. Les Amérindiens adoptèrent la carotte, un des premiers légumes-racine qu'ils pouvaient déguster.
Depuis, l'usage de ce légume s'est répandu mondialement.
Toutes ces propriétés n'incitent pas à produire un alcool à la base de cette plante...
Mais c'est ignorer que l'absinthe est également un puissant stimulant! D'où le succès remporté au dix-neuvième siècle par la boisson du même nom, un spiritueux très fort à base d'absinthe, de fenouil, d'anis vert et de camomille. Rapidement, la « fée verte ,>, ou la « bleue » devient une boisson populaire, très consommée à 1'heure de l'apéritif, dans les débits de boisson et les bordels. Les plus grands écrivains et poètes français en célébreront les "vertus" : Maupassant, Verlaine, Rimbaud, Baudelaire... C'est que le redoutable breuvage, très euphorisant, provoque des hallucinations et des intoxications sévères...
"Cet élixir perfide, déclarait Alphonse Allais à ses amis du Chat noir, est composé d'extraits de six plantes, dont trois sont stupéfiantes et les trois autres épileptisantes. C'est une liqueur vraiment diabolique."
Contrairement à une idée reçue, la partie bombée d'un soufflé ne contient pas de l'air, mais de la vapeur d'eau.
Sous l'action de la chaleur du four, une partie de l'eau contenue dans le lait et les œufs s'évapore sous forme de bulles qui restent piégées sous la croûte. Plus les blancs d'œufs seront fermes et plus ces bulles auront du mal à traverser la pâte et à s'évaporer du soufflé. Résultat, le soufflé restera très ferme.
Mais pour que cela réussisse bien il y a une condition. Il faut éviter d'ouvrir le four en cours de cuisson sous peine de voir la vapeur se recondenser et le soufflé retomber…
Bon appétit !!!
Bon ok, j'ai un peu de retard pour cet article, mais comme on m'a toujours dit "mieux vaut tard que jamais", je le poste quand même.
Alors savez-vous la raison pour laquelle nous mangeons des crêpes à la chandeleur? Non ??? Moi non plus. Enfin moi non plus, jusqu'à ce soir où la curiosité m'a poussé à faire des recherches.....
Voici donc ce que j'ai trouvé :
La Chandeleur, autrefois "Chandeleuse", se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot "chandelle".
A l’origine, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. En 472, le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention à le garder allumé.
Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des œufs à couver en assurent une bonne éclosion. Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.
Entre temps, une autre tradition a vu le jour : celle des crêpes. Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la chandeleur, le blé serait carié pour l’année.
En faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d’or. En effet, les paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d’or dans la main gauche. Ensuite, la pièce d’or était enroulée dans la crêpe avant d’être portée en procession par toute la famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l’armoire jusqu’à l’année suivante. On récupérait alors les débris de la crêpe de l’an passé pour donner la pièce d’or au premier pauvre venu.
Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d’avoir de l’argent toute l’année.
Aujourd’hui, les processions aux chandelles et autres rites n’existent plus mais on a conservé la tradition des crêpes.
Enfin, n’oublions pas les croyances liées à la météo. En de nombreux pays, on croît que le jour de la Chandeleur, un ours sort de sa tanière. Si la température est douce et qu’il voit le soleil, il retourne vite reprendre son hibernage, car il sait que le beau temps ne durera pas.
Dans d'autres pays c'est la marmotte qui sort. Si elle voit son ombre, cela signifie qu'il y a du soleil, alors elle retourne vite continuer à hiberner car elle sait que l'hiver va encore durer.
Et pour clore le sujet, de nombreux proverbes sont également associés à la Chandeleur. En voici quelques-uns :