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Un grand merci
à Monsieur Kiki
pour ces deux
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31 janvier 2008 4 31 /01 /janvier /2008 23:01

Concerves.jpgLe procédé qui permet de conserver en pots de verre puis en boîtes métalliques hermétiquement clos les aliments aseptisés par la chaleur a été mis au point par Nicolas Appert.

Jusque-là et depuis la plus haute antiquité, la conservation des aliments se faisait par séchage ou fumage, salaison ou froid (neige ou glace), fermentation acide ou adjonction de Sucre.
 

Fils d'un aubergiste de Châlons-sur-Marne, Nicolas Appert s'établit en 1780, comme confiseur, à Paris. Soucieux de nourrir ses militaires, amaigris et déguenillés, le Directoire offre un prix de 12000 francs (-or !) à qui trouvera le moyen de bien conserver les denrées destinées à nourrir les armées de terre et de mer.

 

En 1796, Appert abandonne son commerce et part s'installer à Ivry, puis en 1804 à Massy où il crée une petite usine, la première de toutes celles qui vont participer à la fortune de l'industrie géante des conserves alimentaires.

 

Conserves-1.jpgDès cette année-là, on a la preuve, par les navigateurs au long cours, que le procédé d'Appert est efficace. Mais celui-ci attendra l'année 1810 pour toucher la récompense de 12000 francs et publier un ouvrage sur le sujet, qui fera autorité.
De ce livre fondamental sera tirée une version populaire, le Livre de tous les ménages, qui vulgarisera la technique de ce qu'on va nommer "1' appertisation" (
procédé de conservation qui consiste à stériliser par la chaleur des denrées périssables dans des contenants hermétiques boîtes métalliques, bocaux ...).

 

En 1822, la Société d'encouragement pour l'industrie nationale lui remet le diplôme de "bienfaiteur de l'humanité". Mais dans ses recherches en vue de substituer le fer-blanc au verre comme matériel de conditionnement, il engloutira sa fortune.
Lorsqu'il meurt, en 1841, c'est la fosse commune du cimetière de Massy qui reçoit sa dépouille.
  

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22 janvier 2008 2 22 /01 /janvier /2008 23:01

On raconte qu’il existe trois façons de manger : celle avec les mains, celle avec le couteau et la fourchette, et enfin celle avec les baguettes.
Ceux qui mangent avec leurs mains représentent 40% de la population mondiale, ceux qui mangent avec des couverts de type couteau-fourchette sont estimés à 30%, à égalité de pourcentage avec ceux qui se servent des baguettes, 30% également.

Savez-vous pourquoi les chinois mangent avec des baguettes ??? Non ???
Il y a plusieurs pistes, mais aucune ne fait l'unanimité.

Baguette-chinoise-1.jpgAlors, voila, les chinois mangent ainsi  parce que ... "On ne peut pas manger sans baguettes" ! Voici ce que dit un ouvrage du XI° siècle avant J.-C., qui fait remonter l'usage des baguettes à l'époque  Shang (XVI°-XI° siècle avant J.-C.).
En effet, les baguettes sont faciles à manier (heum, ça dépend pour qui !!!) et peu chère à fabriquer en bambou.

Une légende dit aussi qu'un empereur chinois, redoutant qu'on ne l'assassine, fit interdire fouchettes et couteaux. Pour éviter de manger avec les doigts, les Chinois inventèrent les baguettes, qui se répandirent ensuite partout en Orient.

Baguettes-chinoise.jpgIl est également dit que c’est par souci d’économie de feu et afin de cuire plus vite que la cuisine chinoise se présente sous forme de petites portions découpées au préalable. Les plats ainsi présentés il n’y a pas nécessité de l’utilisation d’un couteau ou de ce qui aurait pu s’apparenter à une fourchette, deux baguettes de bois servant à pincer ces petites parts faisant parfaitement l’affaire.

Je sais bien que mon avis vaut ce qu'il vaut, mais en ce qui me concerne, je préfère les fourchettes...
  
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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 23:01
 

Savez-vous combien de temps peut-on vivre sans manger ???
Non ??? et bien cela dépend de la constitution de chacun.

 

A-table.jpgGrâce à ses réserves de graisse, une personne bien portante et bien nourrie, pourra tenir 3 mois sans absorber aucune nourriture, à condition de boire suffisamment.
En revanbche, une personne souffrant déjà de malnutrition ne pourra guère résister plus de 3semaines à ce régime. Cela est dû au fait qu'elle ne dispose pas de la même énrgie.

 

Lorsque aucune nourriture n’est absorbée, l'organisme est contraint de puiser sur lui-même ses sources d'énergie. Il va d'abord utiliser le glucose du glycogène, une molécule de réserve contenue dans le foie (glycogénolyse), puis les acides gras des tissus adipeux et enfin, les protéines musculaires (d'où la "perte de muscle").

 

La plus longue grève de la faim connue, a duré 94 jours : elle a été entreprise en 1920 par 9 détenus de la prison de Cork en Irlande.


Bon alors je veux bien que les fêtes aient été néfaste à votre ligne,
mais faites attention la privation excessive est néfaste…
  
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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 23:01
 

Rois-mages.jpgLe jour de l’Épiphanie commémore la présentation de l'enfant Jésus aux rois mages autour de l’indémodable galette.

Mais savez-vous que derrière cette manifestation religieuse se cache la célébration de rites païens ?


L'Épiphanie est fêtée par toutes les églises chrétiennes traditionnellement le 6 janvier. A la suite d'une réforme de la liturgie romaine, elle a été reportée au deuxième dimanche suivant Noël dans les pays où ce jour n'était pas férié.

Cette année, ce sera donc le 6 janvier.

Dans les sociétés pré-chrétiennes, cette fête correspondait à l'apparition du dieu Dionysos, originaire de Thrace, célèbre dans tout le monde grec. Cette divinité était rattachée aux saisons et mourait avec le déclin de la végétation pour ressusciter avec la lumière. Cette croyance rappelle le culte païen des Saturnales célébrant le retour du soleil lié au début du solstice d'hiver.


Galette-des-rois.JPGDepuis le XIVe siècle, au mois de janvier il est de tradition de partager la galette des rois en famille ou entre amis pour célébrer l'Épiphanie.Elle doit être partagée en autant de portions que de convives avec une part supplémentaire destinée au premier pauvre qui se présentait.

Cette coutume faillit être supprimée au XVIIIe siècle, sous la Convention, mais fort heureusement la tradition populaire l'emporta sur les principes républicains.

La galette des rois est aujourd'hui l'occasion de découvrir une « fève » dissimulée à l'intérieur de la savoureuse pâtisserie. L'heureux élu portera le titre de roi ou reine et aura le droit de porter une couronne en papier.

undefinedCette fève ainsi placée dans la galette des rois est certainement une réminiscence des saturnales romaines, fêtées au mois de janvier. Cette époque était l'occasion de banquets et de festivités, et le roi de la fête était désigné par tirage au sort d'une fève blanche.
La fève de la galette des rois n'est actuellement plus un légume sec mais plus généralement un santon ou une fève en porcelaine. 
D'ailleurs, savez-vous comment s'appelle un collectionneur de fèves ??? Non ?? Un  fabophile...

Bon maintenant que la tradition de la galette des rois vous alivré tous ses secrets, bon appétit !!!!!!!!!!!
  
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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 23:01
 

Le Mojito a fait sa place parmi les grands. Très élégant et cosmopolite, pour la préparation il s'agit premièrement de travailler les feuilles de menthe, le sucre et le citron avec un pilon dans un verre haut sans broyer la menthe. Le Mojito devient ainsi très parfumé, légèrement sucré avec une pointe d'acidité.

 

Certaines variantes sont réalisées sans eau gazeuse et en mettant des morceaux de citron vert au fond du verre, ajoutant la menthe et du sucre de canne et pilant le tout. Une autre variante du Mojito consiste à ajouter quelques gouttes d'angostura. Mais la recette originale restera à jamais la plus noble.

 
Bon maintenant, petite leçon d'histoire :


L'origine du Mojito vient de Francis Drake, connu à l'époque sous le nom "El Draque" (le Dragon), qui était un célèbre pirate anglais, premier homme anglais à faire le tour du monde.

Francis Drake, pendant son tour du monde et entre 2 pillages en 1578, but dans une taverne avec son équipage pour fêter leur dernier butin. Ils aimaient siroter des feuilles de menthe pilées avec de l'eau-de-vie locale (précurseur non raffiné du rhum cubain actuel) et du citron vert. Ils buvaient l'ancêtre rustique sans sucre du mojito qu'ils appelaient le "Draque" (pseudo du celèbre corsaire qui était aussi amiral et capitaine de l'équipage.


Mojito.jpgBien plus tard, le règne de la mafia cubaine entre 1910 et 1920 a permis de raffiner le rhum. En 1946 "La Bodeguita del Medio" décide donc de réaliser une variante raffinée, améliorée et sucrée du "Draquecito" afin de le rendre plus accessible. Ils appelèrent cette recette "Mojito" (amalgame violent de mojadito (humide) et de mojo (sauce culinaire cubaine voulant aussi dire "charme" en Afrique du sud). Nom bien trouvé pour une boisson qui se veut séduisante et tropicale. Peu de temps après, les Cubains la préparèrent partout et au milieu des années 20 elle était devenue la boisson nationale de Cuba. Prononcez à l'Espagnole :"Morito".

 

Beaucoup aiment y ajouter un peu d'angostura pour relever les arômes, on obtient un mojito au goût légèrement amer: le "Mojito Créole".

 

 Les ingrédients du Cocktail pour 1 personne sont les suivants :

 

·  6 cl de rhum cubain (havana club, bacardi, etc)
·
  1/2 citrons verts
·
  0.5 cl de sucre
·
  7 feuilles de menthe
·
  eau gazeuse (perrier)


Maintenant pour ce qui est de la préparation proprement dite, je vous laisse en compagnie d'un pro.

Recette cocktail MOJITO


 
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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 23:01
 

Comme vous avez pu le remarquer, depuis quelques jours, on se gèle et les microbres arrivent à toute vitesse...
Je me suis donc intéressée à un très vieux remède qui à fait ses preuves et cela dans l'unique but de vous rendre service, bien évidemment...

Grog.jpgL'amiral Edward Vernon naquit à Westminster en 1684. Et s'il n'avait, sans le vouloir !, inventé le grog, cet officier de l'armée britannique serait très certainement mort dans le plus total anonymat. D'ailleurs, les historiens éprouvent les plus grandes difficultés pour établir une biographie solide du personnage. Certains affirment qu'il aurait mené de brillantes expéditions aux Caraïbes. D'autres insistent sur le caractère bien trempé de ce courageux marin. Et ils assurent que Vernon aurait même été rayé de la liste des amiraux pour avoir imposé à ses équipages un commandement un peu rude. Pour mettre tout le monde d'accord, on peut imaginer que l'un n'exclut pas forcément l'autre.

 

Reste qu'Edward Vernon ne semblait pas franchement attiré par les subtilités de l'élégance vestimentaire. Car tous s'accordent pour souligner que l'amiral portait en permanence, quelle que soit la saison, un manteau fabriqué dans un grain de drap grossier. Dans la langue anglaise de l'époque, on appelait cette toile rustique du grogram. Aussi les matelots prirent-ils l'habitude de surnommer Vernon Old Grog. Mais jusqu'ici, point de relation avec le cocktail que nous connaissons aujourd'hui : mélange d'eau chaude, de rhum et de citron auquel certains y ajoutent parfois une pointe de miel.

 

Au XVIIIe siècle, le commandement d'un navire ne ressemble guère à une partie de plaisir. Outre les difficultés techniques inhérentes à la navigation, il faut également compter sur l'humeur de l'équipage. Mais aussi sur son état de fraîcheur ! En effet, le rhum coulait à flots. L'amiral Edward Vernon eut donc l'idée de réglementer quelque peu le recours à la chopine. Il institua une ration "officielle" de rhum coupée d'eau chaude. Le breuvage obtint d'emblée l'adhésion des matelots, au point de devenir très vite à la mode à bord de nombreux bâtiments.

 

Vous l'aurez compris, dans la mesure où il convenait de baptiser cette nouvelle boisson originale, les marins lui donnèrent le nom de son inventeur Old Grog. Puis le cocktail prendra rapidement le nom de Grog.

 
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30 novembre 2007 5 30 /11 /novembre /2007 23:01


En France et dans de nombreux pays, le repas de Noël se termine en dégustant la traditionnelle Bûche de Noël.
Cette tradition reproduit en fait, un autre rite lié à la célébration du solstice d'hivers.

Feu-de-chemin--.JPGL’histoire de la traditionnelle bûche de Noël remonte au XIIème siècle.
Depuis plusieurs siècles en effet, on avait pour habitude, lors de la veillée de Noël, de faire brûler dans l'âtre une très grosse bûche qui devait se consumer très lentement. Il était choisi, de préférence, un tronc d'arbre fruitier censé garantir une bonne récolte pour l'année suivante.

Lors de l'allumage, la bûche était bénie à l'aide d'une branche de buis ou de laurier, conservée depuis la fête des Rameaux.
Durant toute sa combustion, elle était arrosée de vin afin d'assurer une bonne vendange, ou de sel pour se protéger des sorcières. On conservait souvent les tisons afin de préserver la maison de la foudre.
La taille de la bûche devait être également assez conséquente. Effectivement, l'idéal étant qu'elle puisse brûler durant 12 heures sans interruption. Il ne fallait surtout pas éteindre la bûche volontairement.
 

L’arrivée des chaudières et autres moyens de chauffage au XIXème siècle, ont remplacé cette grande bûche par une plus petite. Ornée de bougies, de haches, de scies, de champignons, de lutins et de verdures, celle-ci est devenue un objet décoratif de la table de Noël.

 

buche-Noel.jpgAujourd’hui cette bûche s’est transformée en pâtisserie mais reste toujours un objet décoratif !

La tradition veut que cette bûche de Noël soit réalisée à base de crème au beurre, mais depuis plusieurs années certains la préfèrent glacée.
Le marché nous offre mille et une déclinaisons de la bûche traditionnelle, aux couleurs, saveurs et formes diverses. Les pâtissiers sont de plus en plus originaux et créatifs.

Est-ce que cela est dû au fait que nous sommes de plus en plus gourmands ???
En tout cas le proverbe qui dit que :
"la gourmandise est un vilain défaut",
est une belle co....
 
Buche-Noel-2.jpg buche-Noel-1.jpg Buche-Noel-3.jpg
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12 novembre 2007 1 12 /11 /novembre /2007 23:04
 

Si le concours du cocktail le plus modifié existait, la Piña Colada serait sûrement en tête. Il existe tellement de variantes, tellement de modifications jusqu'au nom lui même, que la recette originale est devenue floue... parfois perdue dans le temps et à travers les pays !

 

Pina-Colada.jpegMais une certaine origine est restée car les points communs de quasiment toutes ces variétés sont le rhum et le jus d'ananas, parfois le lait de coco est oublié ! Le mélange du rhum, de l'ananas et du coco est tellement parfait que tous les barmen ont voulu ajouter leur grain de sel pour le peaufiner... Certains ont francisé la recette en y ajoutant un peu de cognac, d'autres y mettent du sel ou du sucre, parfois les deux.

 

C'est aux Antilles que vous trouverez les meilleures Piñas Coladas, classiques, servies dans des ananas démunis de leur chair, à déguster à l'ombre d'un palmier... divin !

 

Souvent copiée, jamais égalée, la Piña Colada aurait été inventée le 15 août 1954 par "Don Ramon Marrero" (alias Monchito), un barman de l'hotel Hilton à San Juan (Puerto Rico). Son but était de restituer toutes les saveurs de Puerto Rico dans un seul verre en insistant particulièrement sur le jus d'ananas frais des fermes de Puerto Rico.

 

Après plus de 3 mois d'essais, de dosages, et de nombreux mélanges malheureux, "Don Ramon" s'est arrêté sur la recette de la Piña Colada, qui signifie "ananas pressé", qu'il a servi à de nombreux résidents de l'hôtel, comme John Wayne, Gloria Swanson...

 

Il servit ce Cocktail pendant trente-cinq ans comme barman au Caribe Sol et connut la consécration en 1978, quand Coco Lopez, fabricant de crème de noix de coco originaire de Porto Rico, a marqué la vente du 3 millionième Piña Colada à l'hôtel en offrant un téléviseur de couleur à Marrero. Le même jour, il a été honoré et le gouvernement a déclaré la Piña Colada boisson nationale de Porto Rico. Depuis, elle a fait le tour du monde.


Pina-colada-1.jpeg
Voici donc La recette originale :

·  4 cl de rhum blanc 

·  2 cl de rhum brun 

·  12 cl de jus d'ananas 

·  4 cl de lait de coco


Préparez cette recette d au mixer. Mixez les ingrédients avec 6 glaçons pour obtenir un mélange onctueux dû à la glace pilée (frozen). 

Décorer avec un carré d'ananas, d'une cerise confite et éventuellement des feuilles d'ananas.
Une boisson que les amateurs de cocktails authentiques dégusteront avec plaisir. Le lait de coco, le jus d'ananas et le rhum constituent un mélange vraiment très savoureux.

Tchin tchin !!!

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20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 22:03

Et voila,
Thom m'avait demandé dans ce commentaire de bien vouloir  vous parler de son coktail préféré : le Bloody Mary.
J'ai donc fait quelques recherches et je vous livre le résultat.

Bloody-mary.jpg
La recette :

  • 4 cl de vodka 
  • 12 cl de jus de tomates
  • 0,5 cl de jus de citrons 
  • 0,5 cl de sauce worcestershire
  • 2 gouttes de tabasco
  • sel de céleri
  • sel
  • poivre


Préparez la recette du Cocktail Bloody Mary au shaker. Frapper au shaker les ingrédients, verser dans un grand verre. Ajoutez à convenance sel de céleri, sel et poivre. Servir.
Servir dans un verre de type "tumbler" Décor: Décorer d'une branche de céleri.
Il est extrêmement difficile de trouver un Bloody Mary convenablement préparé, mais le jour où l'on en boit un "vrai", généralement on l'adopte !!!


Historique :
Le "Bloody Mary" est certainement le cocktail le plus célèbre à base de jus de tomate.

Mary-Tudor.jpg

Il tient son nom de "Mary Tudor" surnommée "Bloody Mary" (Marie Sanglante).
Cette reine d'Angleterre sanguinaire était la fille d'Henry VIII, le roi aux 6 épouses. Elle régna pendant quelques années et rétablit le catholicisme en Angleterre en faisant exécuter les opposants à ses politiques, d'où son surnom. À sa mort, elle fut remplacée par sa sœur Élisabeth première.


Présenté anciennement sous la forme d'un remède contre "la gueule de bois", c'est un des plus grands cocktails de tous les temps.
Le Bloody Mary a été inventé par Ferdinand Petiot pendant la prohibition, en 1921 au "New York Bar" à Paris. Ferdinand y travaillait avec Harry, l'inventeur du Side Car, White Lady etc...


Selon la légende, c'est pour le comédien américain Roy Barton que Ferdinand aurait concocté ce mélange d'épices, de citron, de jus de tomates et de Vodka, qui fut d'abord connu sous le nom de "Bucket of Blood", avant de devenir le "Bloody Mary".

Le cocktail ne séduisit cependant pas immédiatement les parisiens et ne devint un véritable succès que quelques années plus tard, aux Etats Unis.


Au milieu des années 30, pendant la prohibition, Ferdinan Petiot prit en effet les rênes du King Cole Bar de l'Hotel St. Regis à New York, où il réintroduisit son invention en remplaçant la vodka par du gin sous le nom de "Red Snapper", le présentant en tant que remède contre la gueule de bois.


Aujourd'hui toujours populaire, le Bloody Mary a donné lieu à de très nombreuses variations comme le "Bloody Caesar". L'amateur de cocktails aura certainement remarqué qu'il est extrêmement difficile de trouver un Bloody Mary convenablement préparé, principalement parce que la grande majorité des barmen se contente de mélanger de la vodka à du jus de tomate épicé (souvent des mixtures déjà préparées d'avance), ce qui donne au final une sorte de Gaspacho alcoolisé.
  

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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 22:03


Dans ce commentaire, miss Yue Yin me suggérait d'écrire un petit article
sur un de ses plus grands vices….

Alors voilà c'est chose faite et c'est pour toi Yue Yin….

 

Le Cuba Libre est né au cours de la guerre entre les États-Unis et l'Espagne lors de la 2ème Guerre d’Indépendance (1895 à 1898).

 

Un beau jour, un groupe de soldats américains, s'était retrouvé dans un bar du Vieux Quartier de La Havane. Fausto Rodriguez, un jeune officier, raconta plus tard qu'un capitaine était entré et avait commandé du rhum et du Coca-Cola sur glace, avec un quartier de citron vert. Cela éveilla la curiosité des soldats qui l'entouraient. Ils demandèrent au barman de leur servir ce même cocktail.

 

Lorsque les soldats commandèrent une nouvelle tournée, un soldat suggéra de porter un toast "¡Por Cuba Libre!" pour fêter la libération de Cuba.
Le capitaine leva son verre et prononça le cri de guerre qui avait si bien su motiver les troupes durant la guerre d'Indépendance : ¡Cuba Libre ! : Le Cuba Libre était né.

 

La recette fut gardée par quelques barmans mais ne connut un véritable succès que plus tard, pendant la prohibition aux USA entre 1919 et 1933.

 

La fabrication, le transport, l'importation, l'exportation et la vente de boissons alcoolisées étaient prohibées. Cette loi anti-alcool fut un vecteur de croissance pour la mafia italo-américaine qui s'est rapidement aperçue que Cuba était un endroit stratégique pour faire entrer et exploiter de l'alcool aux USA pour deux simples raisons : Cuba produisait du rhum, et les côtes américaines n'étaient qu'à 200 km.

 

Le trafic de cuves de rhum commença, mais sur les ports américains il y avait souvent des contrôles par les autorités et le rhum était vite décelé, transformant certaines importations en fusillades. Les parrains mafieux avaient des ressources et ils entreprirent d'importer des cuves pleines de "Cuba Libre", coupant ainsi l'odeur et le goût du rhum, passant plus facilement les contrôles.

 

Dans les bars américains contrôlés par la mafia, on buvait donc beaucoup de "Cuba Libre", l'origine de la recette et même le nom de la recette y a même laissé des plumes. En effet, aussi bien la mafia que les consommateurs clandestins, inspirés par quelques cocktails, aimaient jouer à des jeux de mots et raconter des blagues et jouant sur le fait que phonétiquement "Cuba libre" voulait aussi dire "cuve libre" en Cubain, narguant par la même occasion les autorités trompées sur les importations des cuves clandestines. Le succès du "Cuba Libre" commença...

 

Depuis, le Cuba Libre est aussi parfois appelé ironiquement "Mentirita" (qui veut dire petit mensonge en espagnol) par certains cubains ainsi que par leurs voisins dominicains qui ne considèrent pas l'île comme libre avec le régime castriste.

Cuba-Libre.jpg

Comment ???
Vous ne connaissez pas la recette du Cuba Libre???

Bon, vous avez eu le courage de me lire jusqu'au bout,
vous avez bien droit à une récompense…

Voici donc la formule magique :

· 6 cl de rhum cubain (Havana club, bacardi, etc)
·
4 cl de jus de citrons verts
· 15 cl de cola (coca cola, pepsi)

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