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1 septembre 2007 6 01 /09 /septembre /2007 03:00

Au début du siècle dernier, comme aux précédents, chanson et musique étaient interprétées sans que les exploitants demandent aux auteurs la moindre autorisation ni ne leur versent la moindre rémunération.

 

Le 9 mars 1847, Alexandre Bourget et Victor Parizot, compositeur et auteur de renom, sont aux Ambassadeurs, où l'on donne un spectacle chantant. Quelques-unes de leurs oeuvres y sont interprétées et obtiennent un grand succès auprès du public.
Bourget et Parizot font appeler le propriétaire de l'établissement, le félicitent pour son choix de chansons et refusent de payer leurs consommations, puisque "le propriétaire du café-concert utilisait leurs oeuvres à son bénéfice, faisant fi des droits d'auteurs et de leur rétribution".

 

L'action judiciaire qui s'ensuivit fut gagnée par le compositeur et l'auteur, en première instance tout comme en appel.

 

La SACEM "Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique" était née officieusement. Officiellement, elle fut fondée en 1851.
La Sacem récolte la quasi-totalité des droits d'auteur et des droits voisins sur les oeuvres musicales, la vidéo et le multimédia. Soit 762 millions d'euros chaque année.

 
 

Le journal Ouest-France à fait part d'une des aberrations du système,
voici leur article :

 

"Des élèves de d'une école élémentaire ont entonné "Adieu monsieur le professeur " pour le départ de trois de leurs maîtresses. Un "hit" toujours émouvant pour ce genre de manifestation et chanté à chaque événement similaire. Manque de chance, fin juin, la directrice de l’établissement recevait une lettre de la Sacem, alertée de la manifestation par la presse locale : "Vous avez utilisé des oeuvres du répertoire de la Sacem sans avoir demandé à notre société l'autorisation préalable, formalité obligatoire prévue par le code de la propriété intellectuelle."

L’organisme de répartition réclame donc 75 € pour cette chanson chantée sur scène par quelques enfants devant leurs parents et enseignants…

À défaut de paiement, c’est évidemment une plainte pour contrefaçon qui attend les dangereux délinquants. "L'école n'a pas fait de déclaration préalable. Nous appliquons donc le forfait minimum d'un spectacle d'enfants avec sono, c'est-à-dire 75 € pour utilisation de mélodie musicale" explique l’organisme au journaliste qui indique qu'une demande gracieuse a été adressée par la directrice à l'organisme…"

 

 

75 € la chanson, ça fait cher le couplet...
Si je dit que je trouve cela abérrant, c'est parce que si les instits doivent payer pour faire chanter NOS enfants, où va-t-on???…
Et pourquoi pas faire mimer le chanson...

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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 23:07

 

 

 

 
En France, le titre de ministre d'État a été utilisé sous différents régimes jusqu'à nos jours, mais il a correspondu à des situations très différentes.


 

Sous l'ancien régime le titre de ministre d'État est apparu sous Louis XIII.
Les ministres d'État, siégeaient au Conseil d'en-haut, futur Conseil d'État. À partir de 1661, le roi appelait qui il voulait à son Conseil d'En-haut. Les invitations royales n'étaient valables que pour une séance et devaient donc être renouvelées tant que la personne désignée gardait la confiance du souverain.

Cependant, le fait d'avoir été invité une fois au Conseil donnait droit à cette personne d'être appelée ministre d'État durant toute sa vie, et même de toucher une pension viagère.
Les ministres d'État présents au Conseil restaient peu nombreux, entre trois et cinq au cours du règne de Louis XIV.


 

Supprimé au moment de la Révolution française, le titre de ministre d'État a été ressuscité à l'époque de la Restauration (la restauration désigne la période comprise entre la chute du premier Empire le 6 avril 1814 et le révolution du 29 juillet 1830). Il était alors attribué, sans que cela soit systématique, aux ministres sortis de charge, après leur démission. Le titre était essentiellement honorifique et le fait, pour le roi, de ne pas le donner à un ancien ministre, était considéré comme un affront.

 

Durant le Second Empire la situation était nettement différente. Napoléon III avait en effet institué un ministère d'État et le ministre d'État était le titulaire de ce ministère. Le ministère d'État était chargé de la politique de prestige de l'Empire, en particulier de l'organisation de fêtes et cérémonies. Il intervenait dans le domaine des beaux-arts, des théâtres et des musées. Le ministre d'État était donc un ministre à part entière.

 

Sous la République, les différents régimes républicains ont repris le titre de ministre d'État pour l'attribuer à des membres du Gouvernement qu'il convenait d'honorer.

 

Sous la Troisième République et la Quatrième République, le titre de ministre d'État était attribué à des personnalités non politiques comme des écrivains, afin de leur permettre de participer au gouvernement sans avoir la charge d'un ministère. Ces ministres étaient considérés comme des cautions politiques.

Sous la Cinquième République, le titre de ministre d'État est utilisé pour marquer de manière significative la prééminence de celui qui le porte au sein du gouvernement, placé protocolairement aussitôt après le Premier ministre et avant les autres ministres.

La seule prérogative d'un ministre d'État est de pouvoir organiser des réunions interministérielles, normalement apanage du Premier ministre.
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Le titre de ministre d'État est un titre purement honorifique qui peut être attribué à une personnalité politique exceptionnelle, voire apolitique comme André Malraux, à un leader de parti politique ou pour signifier que l'action de son ministère est considérée comme une priorité gouvernementale. Il peut y avoir plusieurs ou aucun ministres d'État au sein d'un même gouvernement. Les ministres d'État sont souvent comparés à des Vice-Premiers ministres Mais rien ne prévoit qu'il soit mieux rémunéré.

 
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18 juillet 2007 3 18 /07 /juillet /2007 07:35


C'est en 1939, à New York, que le "pocket book" sortit du cerveau des éditeurs Simon et Schuster et partit à la conquête du monde.

Cela dit, on peut trouver des ancêtres directs au livre de poche, comme certaines collections bon marché, publiées par les éditions allemandes Thuchnitz au début des années 1920.


Puis,
en 1935, le grand éditeur londonien Allen Lane lance les éditions Penguin. Elles  ont pour cible le grand public peu fortuné et mal à l'aise dans les librairies traditionnelles. Lane remplace la classique couverture cartonnée des livres anglais par une couverture souple et propose ses ouvrages au prix uniforme de 6 pence soit 2 francs de l'époque, ou le prix d'un paquet de cigarettes. Ces livres sont mis en vente dans une gamme étendue de points de vente : kiosques, gares, maisons de presse, etc.

Les dix premiers titres paraissent le 30 juillet 1935. Le premier, une traduction de "Ariel, ou la Vie de Shelley", par André Maurois,  le deuxième est le roman de guerre d'un jeune auteur américain Ernest Hemingway, "L'Adieu aux armes". Le succès de la série est immédiat.
Vol-de-nuit.JPG
 En France, le premier éditeur à lancer une série de livres de poche est Hachette le 9 février 1953. Il sort "Koenigsmark" de Pierre Benoit, "Les Clés du royaume" de A. J. Cronin et "Vol de nuit" de Saint-Exupéry.

Merci donc à tous ses éditeurs qui, grâce au format poche,
nous permettent de lire sans "trop" nous ruiner...
 
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8 juillet 2007 7 08 /07 /juillet /2007 13:27

Vers 1650, quatre bureaux de poste parisiens fonctionnaient, reliant la capitale à la province et à l'étranger par la grande poste. Mais la ville de Paris ne communiquait pas avec elle-même.

Maître des requêtes et "homme plein d'inventions singulières", Jean-Jacques Renouard de Villayer combla cette lacune en instituant la petite poste pour "ceux qui voudront écrire d'un quartier de Paris à un autre et avoir réponse promptement, deux ou trois fois le jour, sans y envoyer personne".

Bo--te-aux-lettres.jpgC'est pourquoi il fit placer des boîtes murales au coin des principales rues, avec trois levées quotidiennes, pour recevoir les lettres. Chaque lettre devaient être entourées d'un billet dit "de port payé" vendu un sol. Le nouveau service commença à fonctionner le 8 août 1653.

Les premiers clients ne furent pas nombreux et la petite poste eut vite fait de péricliter. Cependant, le principe de "la boëte pour les lettres", lui, fit fortune assez vite, au bénéfice de la grande poste : six boîtes dans Paris en 1692, sept en 1723, douze en 1740.

Puis, en 1754, sous l'impulsion de Piarron de Chamousse, la petite poste renaît pour imiter celle de Londres créée en 1680. En 1780, Paris comptait plus de cinq cents boîtes pour la petite poste et trente-huit pour la grande.

La boîte aux lettres se répandit dans toute l'Europe durant les XVIIIe et XIXe siècles.

A la Belgique revient le mérite d'avoir inventé, en 1848, les boîtes bornes, introduites dès 1852 à Londres, puis dans tout le pays sur l'initiative de Rowland Hill, le papa du timbre poste. Ces boîtes bornes arriveront ensuite en France, en Amérique, en Australie, dans les colonies Britanniques, etc…

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30 juin 2007 6 30 /06 /juin /2007 13:33
 Cet article ne changera pas le cours de votre vie mais j'avais envie de me lancer dans la création d'une catégorie qui parlerait de tout et de rien.
Des réponses à des questions que l'on ne se pose même pas...

Bref de la "culture générale" sans prétention ni prise de tête...
Voici donc le premier article de cette catégorie :


arrobase.gif

Le signe @ figurant dans les adresses de courrier électronique est très ancien.

Il a d'abord servi aux copistes médiévaux pour représenter la préposition latine "ad "qui signifie " à " ou " vers ".

Puis dans le latin de chancellerie, cette préposition, toujours écrite @, a servi dès le XVIe le siècle, peut-être même avant, à indiquer le destinataire d'un document officiel. Son usage est tombé en désuétude au XIXe siècle.

On le retrouve sur les machines à écrire des pays anglo-saxons, d'abord en Grande-Bretagne à partir de 1885, puis aux États-Unis où il va servir à indiquer le prix unitaire sur les factures. En 1972, l'américain Ray Tomlison, l'inventeur du logiciel de messagerie électronique qui cherche à créer pour son réseau Arpanet (précurseur d'Internet) un système d'adressage, le choisit pour le placer entre le nom du destinataire et celui de la boîte aux lettres, lui redonnant ainsi son sens de "vers " avec sa dénomination anglaise "at ".

Les informaticiens français l'on enregistré sous une autre dénomination dont l'orthographe n'est pas encore fixée : ar(r)obase, arobas, ar(r)obace.

Pour certains le mot proviendrait du vocabulaire des typographes et serait la contraction de "a de ronde de bas de casse " abrégé en "a-rond-bas " puis "arobase ".

Pour d'autres, le mot serait emprumté à l'espagnol "arroba ", une unité de mesure longtemps utilisée en Espagne et en Amérique du Sud.


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